[Mot de Fukaï]

Dans une coffre, que seul Fukaï avaoit le droit d'ouvrir, son coffre, était enfermé une lettre.
Esperant que Madim l'ouvrirait, elle avait laissé ca la. La lettre disait:

La lettre s'arretait ici.

Madim n'avait pas ouvert le coffre, et elle arriva avec le corps de Fukaï dans ses bras.
Elle avait traversé l'académie sans mots, sans regards.
Elle disposa l'être qui lui était le plus cher sur le sofa. Elle s'agenouilla devant elle.
Pendant ce temps, les professeurs réunissaient les armes etc, afin de crée la résistance.
Cétait égoïste de la part de Madim de les laisser. Mais elle avait besoin d'être égoïste à ce moment là.
Son regard fut attiré par le coffre que Fukaï avait toujours interdit d'ouvrir.
Elle l'ouvrit. Et dedans se trouvait l'explication.
L'explication du départ de Fukaï. Le pourquoi. Le comment.
Elle eut un pincement au coeur en lisant la lettre. Elle serait venue plus tôt, elle aurait sans doute pu la sauvée. Elle l'aurait sauvée.
A ce moment, Madim était extrémement egoïste, c'est simple: Elle aurait voulu mourir avec elle. Laissant l'académie, laissant ses élèves. Mais ce n'est pas ce que Fukaï aurait voulu. Non?
Et elle fondit une fois de plus en larme. Implorant les dieux et suppliant sa soeur de revenir.