Le dejeuner raté.

Mme.Miku s'affairait dans sa cuisine, pendant que les élèves étaient en cours de botanique.
Elle qui était d'habitude si joyeuse avait une mine plutôt déconfite...

Elle se Brulat plusieurs fois mais ne poussais que quelques jurons avant de replonger dans ses pensées.
Les derniers évènements la troublaient quelque peu, et il y avait de quoi !

Il ne restait plus qu'une directrice, et des assaillants dehors attendaients, préparants un plan d'attaque.

Mme.Miku s'assit alors, un torchon en main, s'épongeant le front.

"Fiou, ça ne tourne plus rond tout ça.." se dit-elle à elle-même.

Madim entra la mine lugubre dans le réfectoire.
D'habitude une pièce joyeuse, animée et enthousiasme. Au yeux de la directrice, elle était lugubre, sale et morte.
Morte ... comme son coeur...
Madim n'était plus rien. L'ombre d'elle même. L'ombre de rien.
Elle regarda Mme.Miku sans la voire.
Vide, une traversée de vide parmis les tables en bois noir.
Fukaï était encore dans son bureau, dans un cerceuil. La pièce avait étée aménégée afin que la pièce serve de chambre funéraire.
Elle serait bientôt enterrée.
Madim voulait que son enterrement soit le plus beau qu'il n'y ait jamais eu. Mais avec une petite cérémonie modeste, et non fastueuse. C'est ce que Fukaï aurait voulu.
Et pour cela, elle lui rendrait honneur. Car Fukaï le méritait. Elle avait tant fait pour elle, lorsqu'elles étaient petites... elle avait tant fait jusqu'à maintenant ...
Et maintenant qu'elle...
Madim eut un pincement au coeur. Rapide. Mesquin. Douloureux.
Elle s'assit à une table. La tête enfouie dans ses mains frêle et fragile.
Les larmes coulèrent entre ses paumes. Elle était faible. Elle était fragile. Un souffle de vent aurait pu la détruire. Elle avait besoin qu'on l'aide. Et pourtant, elle avait besoin d'être seule.

C'était dur d'être en deuil... Très dur...

Mme Miku osa à peine relever les yeux pour voir Madim:
Elle savait qu'elle devait être plus triste que tout autre, et ne ferais pass l'affront de la regarder en face.

La cuisinière voulut s'essuyer ses larmes avec son gant de cuisine, et finit par les enlever et prendre un torchon.

Elle pris un plat de comcombres avec un pot de sauce à la rcême et un autre de sauce vinaigrette et alla le poser sur la table devant Madim, sans lui adresser la parole.

Il valait mieux la laisser dans ses pensés.

Madim regarda la jeune femme passé devant elle, déposée le plat.
Elle leva les yeux vers elle. Puis, regarda la table.
Il fallait qu'elle parle.
Elle ne parlait pas depuis la mort de Fukaï. Non, elle n'en avait pas envie. Pourtant, ses devoirs l'obligaient à communiquer. Surtout que les attaquants se trouvaient dehors, prêt à tuer... a tous les tuer !

Elle attrapa délicatement mais rapidement le bras de la cuisinière.
Difficilement, elle rompit le silence qu'elle avait fait comme le font les personnes en deuil.
Son regard était vague , mais elle prononça comme même:
-Mme.Miku, je sais que vous ne pouvez vous battre à cause de ...

Inutile de rappeler le passé de Mme.Miku... La période était trop douloureuse pour rappelé quoi que ce soit du passé...

Rien qu'en y pensant, Madim se rappelait de l'arrivée de la cuisinière et l'entente qu'elles eurent toute les trois avec Fukaï...
C'était insuportable, tout se rapportait à sa funeste soeur...

Elle continua:
-Mais, vous sentez-vous prête à affronté l'ennemi ?

La cuisinière n'en voulais pas à Madim de parler du passé. Elle était sa supérieure apres tout.
Elle avait le devoir de proteger l'académie,les élèves, et ne devait pas le faire seule.

Il ne fallait pas rester sur la mise. Madame Miku acquiesa de la tête de manière à ne pas parler. c'était si... Dur de parler.. Plus que l'ont ne pourait l'imaginer..
Elle une une brève pensée pour les élèves, qu'elle traitait comme ses chouhoux, en leur donnant le meilleur de ses plats.
C'était dur de penser aux bons moments dans un tel moment..

Dur de parler... En effet...
Madim acquiessa d'un bref hochement de tête et se leva, sans avoir touché au plat de la cuisinière. Elle ne l'avait pas fait exprès à vrai dire ... Elle ne mangeait plus. Elle ne vivaient plus...
D'un regard triste elle regarda la jeune cuisinière et s'en alla d'un pas lent, et en meme temps rapide. Elle retournait au bureau de Fukaï.
Allant prier sur le cercueil de sa soeur.
Non, ce n'était pas morbide... C'était une coutume de son clan ...Un honneur que l'ont rendait aux être chers ... Décédés lors d'un combat...

Le coeur serré.
La passé pesant et lourd.
La lèvre pincée.
Une preuve d'amour

*Fukaï ... Je t'aime ...*

Amen.

Madame Miku ramassa les comcombres et les pots de sauce, la tête baissée. Elle les jeta et s'assis lourdement.

Un soupir lui échapa.

Misa croisa, de loin, la femme qui était sa directrice. Maintenant seule pour diriger l'école, seule pour s'occuper des eleves, seul pour rire ....
Enfin, c'est ce qu'elle penserait, encore un peu, jusqu'a ce qu'elle se rende compte que elle n'est pas si seule en faite, et même loin de là...
dans cette atmophere lugubre, et angoissante, Misa n'avait elle, pas cette tête d'enterrement que tout le monde, tenait, elle n'éclater pas en sanglots, elle n'allait pas se cacher pour etre seule non...
Elle fesait comme si de rien n'était avec une innoncence frapante. Comme si de rien n'était alors, qu'une directrice avait disparut, ainsi qu'un professeur...
mais se n'était pas tout a fait la meme chose. Ce dernier était en mission, mais n'était pas revenu...

*pas encore ! *
s'obligea a penser la jeune fille, avec un vague sourire triste.
Bine sur qu'elle était triste. Bien sur qu'elle avait peur.
Mais si Misa arreter de se sourir avec une cette legereté pas si innocente de cela, alors, qui le ferait ?
Plus personne.

Elle entra dans le refectoire en refermant la porte derriere elle. Elle chercha les yeux pour sourire et salua la cuisinière.
"Bonjour mme miku !"

Elle regarda regarda quelques secondes.
"Vous avez déja fini ? "
Elle Allla voir les plats et pris une petite salade.
"Quel parfum ! je suis sur qu'elle vient d'une plantation de Bulbi !"

[Tous ces avatars incollables me tuent ... Argh]

[Gné? XD]

Madame Miku ne répondit pas à Misa, trop absorbée par la tristesse qui émanait de chaque personne.

Mais elle aperçu sourire de Misa qui la troubla.
Elle sourait durant tous ces évènements ?
Se fichait-elle du monde ? Mme.Miku laissait la colère la porter, mais se rattrapa avant de devenir rouge.

*Peut-etre Qu'elle essai de ne pas montrer de tristesse pour nous rendre plus fort... Pour nous remonter le moral..*

La jeune fille, bizzarement, ne prit pas garde a l'acces de colere qui avait submergeait la jeune cuisinère et s'installa pour manger. Assez rapidement, peut etre trop. Mais elle parlait, de tout, de rien. Surtout de rien. Elle racontais des choses qu'on dit a une amie de lo,ngue date le soir au téléphone, c'est a dire rien d'interessant, et on a aps besoin de réfléchir pour comrpendre. misa savait tres bien parler, pour etre né dans une famille noble.

Elle termina son assiette, et se leva sans prendre le tmeps de remettre son vêtement. Elle salua la cuisinere en la remerciant, et dit encore quelquells louanges sur la cuisine.

Enfin, elle sorti de la piece. Elle ferma la porte avec le dos, et y resta adossé quelques minutes.
Elle n'était pas dpe, et savait se qu'on pensait d'elle.
peut lui importantait ( non c'est pas vrai ) elle avait décidé de ne pas se laisser abattre, car elle devait attendre quelqu'un. Elle se serait avec le sourire. car son amour et véritable. Oui ! Et si celui des autre spour fukai l'était, alors il devrait tous encore rire, et profiter ! ils devraient faire honneur, ils devrait pas se montrer aussi abattu, sinon, c'est comme si Fukai ne les vait pas sauver, c'est comme si bulbi n'avait pas disparut, que tous cela était inutile ! et Misa refusait de croire ca ! si elle n'était pas se qu'elle était, elle lles aurait bein balancer sur une chaise, posé un pied sur leur genous et leur geuler dessus, en leur expliquant cela ...
Tous ici présent devraient .. auraent du...
Juste sourire...
Pour continuer de se battre...
Juste sourire...
Son visage se plongea dans l'ombre de ses cheveux et sa main essuya une larme de rage .
de rage ?... peut etre pas...